L’empathie, une qualité « féminine » ? On en parle !

De récentes études (UCLA 2019, Cambridge 2022) mettent en évidence que l’empathie aurait un genre… Le genre féminin ! Voilà qui conforte volontiers un essentialisme attribuant aux femmes des qualités supérieures en matière d’intelligence émotionnelle et relationnelle. Mais peut-on si facilement conclure de ces études que l’empathie est une compétence féminine ? On en parle !

Un concept à la loupe : la reconnaissance

La reconnaissance est le premier levier de motivation au travail pour 76% des salariés. Ce chiffre monte à 84% chez les moins de 30 ans (Harvard Business Review, 2020). Mais pas plus de 26% des personnes en emploi se sentent reconnues au travail (My Happy Job, 2021). Mais de quoi est faite cette si essentielle « reconnaissance » ? On fait le point.

C’est quoi l’intersectionnalité ?

En parallèle de la doctrine de l’universalité, une autre approche prend de plus en plus de poids dans la conversation sur la mixité : l’intersectionnalité. Que propose cette approche ? Quelle est son histoire ? Quelles critiques suscite-t-elle ? Comment se concrétise-t-elle dans la réalité et les pratiques d’inclusion ? On fait le point.

C’est quoi l’utilitarisme (et l’anti-utilitarisme) ?

Avec l’expression grandissante du besoin de sens, une notion monte en puissance : l’anti-utilitarisme. Brandi tour à tour par les défenseur·e·s du bien commun, les promoteurs & promotrices de l’égalité comme principe de justice, les puristes des droits fondamentaux, les fondu·e·s de développement personnel en quête de bien-être (voire du bonheur), des économistes qui contestent les modèles d’évaluation de la performance et des richesses créées, des philosophes appelant au renouveau de la pensée complexe, l’anti-utilitarisme mérite d’être défini… Et pour cela, sans doute faut-il commencer par cerner ce qu’est l’utilitarisme. On passe le(s) concept(s) à la loupe.

Un concept à la loupe : Les croyances limitantes

« Je ne suis pas capable de… », « Personne ne voudra de moi », « Je suis trop… ou pas assez… », « Je n’oserais jamais »… Tant de petits phrases que l’on se dit pour expliquer ses difficultés voire ses échecs ou simplement le fait de ne pas s’être lancé·e